Deux nouveaux bourgeois témoignent

20 septembre 2021
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Mickeël Coquoz et Emmanuelle Es-Borrat ont récemment acquis la Bourgeoisie de Saint-Maurice. Témoignages.

Mikaël Coquoz est très impliqué dans la vie de sa ville et fait partie de plusieurs sociétés locales. « J’ai grandi à Saint-Maurice, j’y ai fait mon apprentissage et j’y ai toujours vécu. Je suis très attaché à ce lieu. » Mikaël ne manque ainsi aucune occasion de participer aux différentes festivités agaunoises, telles que le festival Nuances Pop, la fête de la Saint Maurice, le Carnaval, entre autres. « Personne ne fait partie de la Bourgeoisie dans ma famille. Je me suis simplement laissé guider par mon cœur et mon attachement à cette ville pour devenir Bourgeois, c’est un titre prestigieux. Et si mon adhésion permet de donner un petit coup de pouce à ma commune, j’en suis heureux ». 

 

 

Emmanuelle Es-Borrat a passé toute sa jeunesse à Saint-Maurice, elle y a fait ses études de la première enfantine jusqu’à la maturité. Elle a toutefois fait une petite « infidélité » à la ville d’Agaune pendant quelques années, exilée pour des raisons professionnelles. En 2013, elle a à nouveau posé ses cartons et valises dans notre ville, et c’est donc avec impatience qu’elle a attendu les cinq ans requis avant de demander la Bourgeoisie en 2019, lorsqu’un appel à du sang neuf a été lancé. « Ma motivation à devenir Bourgeoise est surtout symbolique. Ma famille et mes proches sont établis ici, c’est ici aussi que j’ai toute ma vie sociale et mes contacts. Je trouve donc important d’officialiser mon attachement à Saint-Maurice de la sorte. Mes deux filles adolescentes sont aussi fières que moi d’être Bourgeoises. Le jour où elle quitteront ce lieu, elles garderont toujours ce lien. » Emmanuelle est également heureuse de faire partie d’une organisation qui apporte un soutien indispensable aux milieux sportif et culturel, ainsi qu’à la jeunesse.

Article extrait de la publication « Le Bourgeois » No 1 – septembre 2021